Bienvenue sur mon site. Je m'appelle Marie Frydman,
je suis psychologue clinicienne et j'accueille les jeunes adultes, de 18 à 35 ans, pour des consultations individuelles EN LIGNE (visio), ou en face à face à PARIS (75015) et OFFRANVILLE (76550).

Pourquoi consulter ?

Il existe autant de raisons de consulter que de personnes qui consultent, et il serait difficile de dresser une liste exhaustive des indications. De façon générale, lorsqu'on est soumis à une souffrance qui dure, un problème qui ne se résout pas avec le temps... le regard distancié et le soutien d'une personne "outillée" peuvent être précieux pour avancer.

Voici quelques raisons courantes de consulter :

- Un sentiment de solitude (même en étant entouré...),
- L'impression qu'une situation se répète dans notre vie, alors qu'on cherche à l'éviter,
- Des maltraitances physiques et / ou psychiques, subies au présent ou dans le passé,
- Des difficultés avec l'entourage,
- Des états d'anxiété, d'angoisse, des peurs qui semblent "irrationnelles" et qui nous envahissent...
- Des difficultés avec la nourriture,
- Des troubles du sommeil,
- Du mal à être en paix avec son image, son corps,
- Des souvenirs difficiles qui s'imposent à notre esprit,
- Des émotions envahissantes, ou au contraire, une impression de "vide" émotionnel,
- Une difficulté à se lier aux autres, à se sentir proche de quelqu'un,
- Le sentiment d'être "différent", en décalage,
- Un chagrin d'amour,
- Un deuil,
- Un événement traumatisant,
- Un état général de tristesse, de lassitude, envie de rien...
- La sensation d'être "déconnecté", absent à sa propre vie,
- ....

"Aller voir quelqu'un" répond à un besoin intime, une quête d'apaisement face à certaines situations extérieures et /ou un état interne. C'est une démarche très personnelle.
Dans certains cas, l'impulsion peut venir de l'extérieur : un proche s'inquiète pour nous et nous incite à consulter. A cet égard, l'expérience tend à montrer que l'entourage peut être de bon conseil ; les proches perçoivent des choses qui nous échappent... néanmoins, il est important d'écouter son propre rythme, de ne rien forcer, de se sentir mûr pour "se lancer". Un premier rendez-vous peut permettre de se rendre compte si on se sent à sa place dans cette démarche.

Comment choisir son psy ?

Vous sentez peut-être que vous auriez besoin d'aide, pourtant la démarche de consulter n'est pas si évidente. D'abord, face à la profusion des offres de thérapies, vers qui se tourner ? Et comment faire confiance ?

Aller à la rencontre d'un étranger pour exposer ses difficultés et ses souffrances, peut être une démarche hautement exposante, parfois même impossible. Parce qu'on a été blessé par le passé, parce qu'on ne s'est pas senti.e accueilli.e, compris.e, le réflexe naturel, et bien légitime, est parfois de se replier alors qu'on aurait besoin de soutien.

Alors qu'on s'apprête à livrer une part de sa vulnérabilité, il est essentiel de prendre le temps de choisir avec soin la "bonne personne". C'est un choix très personnel (la "bonne personne" pour quelqu'un ne sera pas la bonne pour quelqu'un d'autre...), et il peut être intéressant de rencontrer plusieurs thérapeutes avant de décider de s'engager avec l'un d'eux. Il me semble important de rester à l'écoute de son ressenti au contact du thérapeute : nous met-il à l'aise ? en confiance ? Même si le travail de psychothérapie peut parfois être éprouvant, retrouver son psy pour une séance devrait à mon sens être un plaisir, un réconfort.

Chaque rencontre est unique, en psychothérapie comme dans la vie. Et une belle rencontre peut ouvrir des possibles insoupçonnés, nous redonner espoir et énergie, marquer un tournant dans notre vie.

A noter que :

Dans le cas de symptômes envahissants (idées noires, insomnies sévères...), il peut être judicieux d'aller consulter un psychiatre, médecin spécialiste des troubles psychiques, seul habilité à poser un diagnostic et à prescrire un traitement qui pourra constituer une "béquille" temporaire en parallèle d'une psychothérapie.
Si la qualité humaine du thérapeute est déterminante dans le soin psychique, face à la profusion de méthodes proposées il est également important de s'assurer que la personne que vous vous apprêtez à consulter a bénéficié d'une formation solide, avec des diplômes reconnus.

Les psychologues ont une formation universitaire (bac + 5) et tous sont liés par un même Code de Déontologie, librement consultable sur Internet, dont les piliers sont la confidentialité et le respect de l'individu, de son autonomie et de sa liberté.

Qui suis-je ?

Mon profil

Titulaire d'un Master 2 en Psychologie clinique et psychopathologie (Ecole de Psychologues Praticiens de Paris, 2010), j'ai consacré les dix premières années de ma pratique à l'accompagnement d'adolescents et jeunes adultes de 12 à 25 ans.

Depuis janvier 2024, ma consultation est ouverte aux étudiants, jeunes adultes et adultes de 18 à 35 ans.

Je me situe dans une approche dite intégrative de la psychologie, c'est-à-dire nourrie de différents courants de pensée. J'ai une affinité particulière avec l'approche humaniste, qui place le lien, les émotions, le corps, au centre de la rencontre thérapeutique.

Mon parcours m'a sensibilisée tout particulièrement à l'impact du trauma relationnel et de la mémoire traumatique sur la santé globale de l'individu.

Mon approche

Je considère mon métier de psychologue d'abord comme un savoir-être dont l'accueil, l'écoute attentive et active, l'empathie, le respect de la personne, sont les fondements.

La psychothérapie est, à mon sens, un rendez-vous en vérité avec soi-même : un espace et un temps à soi, tout à soi, où le thérapeute tâche de s'adapter finement aux besoins et à la singularité de la personne qui le consulte. Ce qui fait paradoxalement la valeur de ce rendez-vous avec soi-même, c'est de ne pas être seul : d'être accompagné, rejoint, soutenu, d'avancer main dans la main pour explorer ensemble les espaces de vulnérabilité qui ont besoin d'attention, de reconnaissance et de soin.

Au cœur de mon approche thérapeutique : une rencontre authentique avec la personne qui me consulte ; je porte une attention particulière au lien qui se tisse, fil à fil, avec chacun de mes patients. Je dirais que ma mission consiste avant tout à créer une bulle de sécurité relationnelle, pour que cette double rencontre - avec soi-même, avec moi - se fasse en douceur, dans un climat de confiance mutuelle.

Je dirais enfin que ma vision de la psychothérapie se situe à la jonction de l'esprit et du cœur : c'est avec mon esprit que je mène un travail d'élaboration sur les problématiques qui me sont exposées, et avec ma sensibilité que j'accueille ce qui affleure. Le fait de pouvoir travailler avec ma sensibilité, au service de l'autre, rend ce métier irremplaçable à mes yeux.